23 citations de Frédéric Lenoir

23 citations de Frédéric Lenoir

1. L’amour nous lie sans nous attacher. L’amour nous engage sans nous enfermer. L’amour nous fait trembler sans nous mettre dans la crainte. L’amour nous fait pleurer sans refermer notre cœur. L’amour nous fait désirer sans posséder. L’amour nous enchaîne et nous rend libre. L’amour nous ancre et nous ouvre à l’univers entier.

2. Tout le chemin de la vie, c’est de passer de l’ignorance à la connaissance, de l’obscurité à la lumière, de l’inaccompli à l’accompli, de l’inconscience à la conscience, de la peur à l’amour.

3. Il est tout à la fois naturel que nous nous attachions à ceux que nous aimons. Il n’y a pas d’amour sans attachement. Mais il nous faut aussi apprendre à cultiver l’esprit de détachement, qui nous rappelle que nul être ne nous appartient, que chaque personne suit sa destinée.

4. Le regard que nous portons sur le monde n’est pas le monde lui-même, mais le monde tel que nous le percevons à travers le prisme de notre sensibilité, de nos émotions. Si le monde vous apparaît triste ou hostile, transformez votre regard et il vous apparaîtra autrement. C’est par un travail intérieur, psychologique et spirituel, que nous pouvons véritablement changer et faire évoluer notre perception du monde extérieur.

5. Ce qui compte, ce n’est pas de gravir cette montagne, ou bien celle-ci, ou bien encore celle-là, mais de parcourir le chemin. Et de le faire avec attention, persévérance, avec le cœur ouvert et l’esprit vigilant. Ce n’est pas le nom du sommet que nous avons gravi qui nous transforme, mais la présence et l’amour que nous avons mis dans la marche. Le monde est beau par la variété de ses paysages. La vie spirituelle est belle par le foisonnement de ses chemins.

6. La vie est courte, mais le chemin de sagesse est long !

7. Il n’y a pas de métamorphose sans douleur. Pour vivre de grandes joies, il faut prendre le risque de traverser de grandes peines.

8. L’être humain a peur de la vie et il est surtout en quête de la sécurité de l’existence. Il cherche, tout compte fait, davantage à survivre qu’à vivre. Or survivre, c’est exister sans vivre… et c’est déjà mourir.

9. Le seul mal qu’il faut vaincre dans ton cœur, mon enfant, c’est la peur. Tous les autres maux : la colère, la jalousie, la tristesse, la culpabilité morbide, proviennent de cet ennemi intérieur. Si tu arrives à dominer ta peur, plus rien ne t’atteindra, plus aucune force mauvaise n’aura d’emprise sur ton cœur. Et pour vaincre la peur, il n’y a qu’un remède : l’amour. Tout le chemin de la vie, c’est de passer de la peur à l’amour.

10. Parfois nous sommes impuissants, car certaines choses ne dépendent pas de nous. Cela nous pousse à apprendre le lâcher-prise, à ne pas vouloir tout contrôler, à grandir dans la confiance, dans le détachement, dans l’humilité, dans la sérénité, dans l’amour.

11. Peu importe ce que tu fais, il y aura toujours quelqu’un pour y trouver à redire. Fais ce que tu aimes ou ce que tu penses juste de faire, et tu seras heureux !

12. Pour la plupart des hommes, le bonheur ne devient concret que lorsqu’il est perdu.

13. Le bonheur et le malheur sont à l’intérieur de nous. Le paradis et l’enfer n’existent qu’en nous.

14. Le monde est constitué d’éléments invisibles et subtils que nous ne pouvons percevoir qu’avec notre cœur ou notre intuition.

15. La Providence met parfois sur notre route des personnes qui ont quelque chose de commun avec nous, avec notre âme, avec les lignes majeures de notre propre destinée, sans que nous ayons les moyens de comprendre.

16. La peur du monde est en fait une peur de soi-même.

17. Si quelqu’un t’insulte ou cherche à t’humilier, ne réponds jamais et passe ton chemin : ce n’est pas ton problème mais le sien.

18. Ne donne à personne le pouvoir de te rendre heureux ou malheureux.

19. C’est une des lois mystérieuses de la vie : une blessure, une souffrance, un échec deviennent l’occasion de chercher en soi des ressorts intérieurs plus profonds, des forces insoupçonnées, pour finalement permettre de construire avec plus de volonté, plus de désir, plus d’ambition.

20. Comment sait-on qu’on aime ? Par les palpitations du cœur. Par cette chaleur qui nous brûle la poitrine. Par les secousses su corps. Par nos jambes qui semblent soudain cesser de vouloir nous porter, ou bien au contraire vouloir nous propulser aux confins du monde. Par la pourpre qui embrase nos joues et la lumière qui illumine notre regard.

21. « On ne naît pas libre, on le devient. » Le commencement de la sagesse, c’est de tourner son regard vers soi-même et d’apprendre qui nous sommes, quels sont nos motivations, nos besoins, nos réactions, nos attirances et nos répulsions, nos habitudes, nos addictions, nos émotions les plus fortes et quelles en sont les causes.

22. Dieu se confond avec la Nature. Il n’est pas un être suprême, créateur du monde, qui parle aux hommes par la voix des prophètes, comme le pensent les juifs, les chrétiens et les musulmans, mais une force impersonnelle qui demeure en tout être et apporte son harmonie au monde.

23. Pour gagner en liberté, et donc en joie, il faut apprendre à briser les chaînes de notre esclavage intérieur. Car, bien souvent, nous sommes d’abord esclaves de nous-mêmes, et savoir cela est un antidote à la victimisation. Il est tellement plus simple d’incriminer les autres de tous nos problèmes !

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